2/05/2013

Ploup

Bonjour Bonjour :)
J'ai des petits gribouillis au crayon pour vous ! ça faisait longtemps hein xD
aujourd'hui j'ai pris mon courage a deux mains et j'ai scanner quelques trucs :)
c'est pas grand chose mais j'espère que ça vous plaira :P









A la prochaine bande de pixels ! xD

2/03/2013

j'ai m-mal au d-doooooos !

Bonjour Bonjour :) 
Ici Naa-chan en direct de .....sa chambre ....
Bref, j'ai deux dessin à vous montrer !
Le premier c'est juste le line d'un dessin que je vais colorier en vidéo pour ma page Youtube uwu Et le deuxième c'est un dessin de mon frère et moi que j'ai fais pour l'anniversaire de ma grand-mère !
 Et...hum...j'ai une redac de début de roman réaliste à faire pour vendredi et...comme je l'ai fini je voulais la poster pour avoir votre avis ! :3 
Désolé d'avance pour toutes les fautes ...=w=

Je sais que c'est long mais ça me ferait vraiment plaisir de voler un peu de votre temps ! :P


           Situé à la frontière entre l'Eure et les Yvelines, en plein cœur des boucles de la Seine,se trouvais un village isolé. On pouvais y voir des maisons grises aux pierres apparentes et aux toit de tuiles rouges. La nature était omniprésente. Le lierre panaché grimpait le long des façades des maisons et s'enroulait autour des réverbères. Tandis que les tilleuls aux feuilles caduques façonnaient le chemin. Deux rues parallèles concentraient tous les lieux et monuments important . La mairie, l'église ,la boulangerie et la salle des fêtes pour l'une. La maison des loisirs ,où l'on avait à choisir entre couture, peinture à l'aquarelle et poterie, l'épicerie et l'école pour l'autre. Bien que le maire se démenait à faire paraître ce village actif, les gens qui le peuplaient savait à quel point il était sans vie.
            Le cloché venait d'être rénové. Mille et unième tentative du maire pour attiré de nouveau villageois. Une maison faisait face à cette église pseudo-romane. Elle se dressait comme pour rappeler à sa voisine d'en face que, peu importe toutes les rénovations qu'on lui ferait subir, elle avait de toute façon perdu l'importance qu'elle avait autrefois et ne retrouverais jamais la ferveur religieuse qui l'habitait. Cette maison vielle de plus de 200 ans semblait abandonné mais abritait pourtant le centre de notre histoire.
           Elle avait un portail en bois rongé par le temps. Le toit semblait modelé par le fort vent du nord. La cheminée était complètement détruite et n'avait, de toute façon, jamais servi. L’intérieur n'était pas plus confortable. L'homme de maison avait commencé des travaux qu'il n'avait pu finir. Le papier fleuri, parfois à moitié arraché, avait perdu sa couleur. Les canapés portait des marques de griffes de chats. Les prise étaient toutes dénudés et l'eau chaude étaient irrégulière. Dans cette maison, vivait une famille modeste où la mère, Madame Deker, élevait seule ses trois enfants depuis que son mari avait été envoyé en prison pour violence conjugale. Comme toute mère à sa place l'aurait fais, elle avait menti à ses enfants en leur disant que leur père était partis en voyage d'affaire au Japon. Seul l’aîné, Romain, était au courant de la véritable histoire parce que, enfant, il avait été témoin de nombreuses scène. C'était un garçon de 17 ans, grand et très mince. Il avait le désespoir de ressembler comme deux gouttes d'eau à son père mais s'était promis de ne jamais devenir comme lui. Ses cheveux bruns en batailles lui arrivait déjà presque aux épaules. Sa seule solution quant aux problèmes familiaux était de se concentré sur ses études. Il travaillait nuits et jours dans le petits bureau construit au grenier. Ce qui lui valait un teint cadavérique. Les odeurs de moisissures que dégageaient les murs humides ne le dérangeait pas. Au contraire, elle le motivaient. Le motivaient à tout faire pour sortir sa famille de cette précarité qui était leur quotidien le plus vite possible. La cadette, Armonix, était âgée de 15 ans et n'appartenait à cette maison que pour l'heure des repas. Elle s'était récemment teint les cheveux en bleu turquoise. Peut être dans le but d'apporter de la couleur dans sa vie et de montrer qu'elle était aujourd'hui capable de faire des choix qu'elle assumait. Ses tâches de rousseurs et ses fossettes la faisait passée pour plus jeune qu'elle ne l'était. Ce qui lui valait quelques réflexions désagréable sur ses cheveux . Elle passait son temps dehors à dessiner dans les champs en écoutant de la musique. La réalité de la vie ne lui était ,malgré tout, pas étrangère. Elle s'occupait du petit dernier depuis toujours. Eliott d'ailleurs, du haut de ses 5 ans, la considérait comme sa mère. Il était souvent convié aux sortis de sa sœur. Par beau temps, il faisaient leur devoirs ensemble assis dans le lavoir au bord de l'Epte. Le vent soufflait sous le grand saule pleureur et les petits poissons noirs nageaient à toute vitesse. Elle lui apprenait à faire des multiplications et il lui récitait ses poésies au rythme de l'eau ternis par les pesticides et les engrais utilisés par les agriculteurs des fermes environnantes. Leur mère ne se rendait même plus compte de leur absence. Elle travaillait toute la journée dans un cabinet de médecin et faisait des ménages chez ses voisins le soir.C'était une femme vieillie par les douleurs que lui avait imposées la vie. Elle avait de long cheveux bouclés grisonnant. Des yeux bleus dont toute lueur était éteinte. Sa vie se résumait à calculer se qui lui resterait pour vivre lorsqu'elle aurait payé ses factures. Une de ses collègues lui apportait souvent des sacs de vêtements pour ses enfants. Malheureusement celle-ci n'avait que des garçons.Et, comme elle n'avait pas les moyens d'acheter autre chose que ce qu'on lui donnait, Armonix n'avait d'autre choix que de porter les vêtements de son frère. Sa mère elle-même n'avait aucune robe en sa possession.
          Ce matin,23 mai 2010,Madame Deker s'était réveillée en retard et Armonix avait donc du emmener son frère à l'école en vélo avant de partir en direction de son lycée. Romain lui, avait son propre réveil et partait toujours aux aurores pour attraper un train. Une fois qu'elle fut arriver devant le cabinet, Madame Deker aperçut un écriteau qui fut celui qui la brisa a nouveau et la fit sombrer dans l'alcool. FERMETURE DEFINITIVE.



Un grand merci à ceux qui prendront le temps de tout lire
bisous :P